144 - Les Keaton voyagent aussi...
(épisode 114 précédent des Keaton)
Dans l'épisode précédent on avait appris le départ de Toma... puis son retour à la maison.
Cette tête de veau a remis ça, il s'est sauvé encore une fois...
Cette fois, il a tapé dans les économies de Carol pour s'offir une nouvelle maison (ras le bol de vivre chez les autres) et, en plus, il a emmené Emmanuel avec lui !
Heureusement, Toma et Carol sont restés amis... et ont encore des sentiments.
En tout cas, ça n'a pas arrangé l'éducation d'Emmanuel qui se met à fréquenter les voyous.
...
Carol : - Entre Toma, je ne vais pas te manger...
Toma : - Excuse-moi Carol, je crois que je fais n'importe quoi maintenant que je suis vieux.
Carol : - Tu sais bien qu'on ne peut pas rester l'un sans l'autre.
Cette fois ci PERSONNE ne partira plus !
...
Et Carol informe tous les amis du retour définitif de Toma.
Faut dire qu'ils ont une misérable pension ! quand on pense que la femme de ménage leur prend 125 $ chaque jour.
Carol : - Tu es content de retrouver la maison Emmanuel ?
Emmanuel : - Oui mais vaut mieux que papa cuisine, il ne brûle pas les plats, lui au moins...
Emmanuel fête son anniversaire, il est maintenant jeune-adulte.
et choisit une ligne de conduite la plus cool possible.
Toma est content de retrouver Carol... même si elle a oublié de passer par la case douche...
Mais ce bonheur sera de courte durée !
Et pas le temps de discuter que la Faucheuse a embarqué Carol !
Toma : - Excuse-moi mon grand, mais avec Carol on s'était juré de se suivre quoi qu'il arrive ! Prend bien soin de toi et des biens qu'on te laisse.
Toma : - Merci de me laisser accompagner Carol.
C'est trop pour Emmanuel.
Heureusement que l'homme de ménage était là.
Emmanuel : - Mais je me fiche de Norton ! je veux mes parents !!!
Emmanuel a eu une idée : à défaut de noyer son chagrin dans les jus de fruits...
... il va le noyer en Chine !
Mais chaque fois que je le laisse faire, il se précipite dans la salle de lecture au-dessus du marchand de livres.
Emmanuel : - Il coûte combien votre éventail ?
le marchand : - Il n'est pas à vendre.
Emmanuel : - ... parce que ça ferait bien chez moi un éventail.
le marchand : - Je vous dis que c'est le mien !
C'est clair, il sympathise avec tous les vendeurs !
Faut dire aussi qu'il raconte à tout le monde qu'il est orphelin...
... c'est pas comme s'il était encore enfant !
Pourtant il rencontre beaucoup de jolies femmes qui le draguent. Emmanuel reste de marbre.
Les arts martiaux, voilà ce qu'il lui faut.
...
Moi je dis que c'est pas gagné...
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