2.1 - Pierre-Antoine cherche l'amour
Jeudi 17 h 30 -
Pierre-Antoine n'est pas content ! Théophile et lui ne s'entendent pas du tout et, surtout, en l'envoyant à Twinbrook, Benjamine Wolff, sa mère, l'a éloigné à tout jamais de son amour...
Et s'il retournait en France ?
Il décide aussitôt de s'envoler pour retrouver Gérard Morel qu'il n'a jamais oublié.
Il retrouve la France telle qu'il l'avait quittée... des années auparavant.
Que c'est bon de retrouver tous ces gens chaleureux !
Pierre-Antoine : - Mais bon sang qu'est-ce que vous avez tous à me croire riche ?
Et personne ne lui dit où trouver Gérard Morel...
Quand soudain... N'est-ce pas lui ? là-bas ?
Et là... tous les souvenirs reviennent !
Seulement voilà, Pascal, le fils de Gérard et d'Edith Morel, les voit.
Pierre-Antoine : - Viens chez moi, enfin... dans ma résidence.
Gérard n'est pas resté longtemps, Pierre-Antoine est déçu, ce ne sont pas les retrouvailles telles qu'il les avait rêvées.
Aussi décide-t-il de ne pas faire le premier pas pour le revoir.
Bien sûr qu'il veut le revoir !
La maison lui semble plus grande que dans ses souvenirs.
Pierre-Antoine : - Tu te rends compte Théophile ? je suis en France !
Théophile : - .....
Pierre-Antoine : - Mais bien sûr que je vais revenir, pourquoi tu me poses cette question ?
Pierre-Antoine : - Sincèrement, si tu n'avais pas appelé, je partais sans te revoir.
Pierre-Antoine : - Non mais... tu es sûre que ça ne crait rien ? ta femme ne rentre pas ?
Gérard : - Mais non, je t'ai déjà dit qu'elle travaillait toute la nuit.
Ce n'est pas la femme de Gérard qui lui saute à la gorge le lendemain matin, mais Pascal, son fils !
Désoeuvré, Pierre-Antoine se promène au centre ville. Que c'est agréable toutes ces filles qui viennent lui faire un bisou.
Certaines sont même plus intrépides, et là, c'est le coup de coeur qu'il n'attendait pas...
Elle accepte même de venir dans sa résidence. Gérard est loin de ses pensées...
Gérard qui ne trouve rien de mieux que d'appeler mettant fin à l'histoire d'amour qui était en train de naître.
Margot : - Non mais qu'est-ce que tu crois ? Gérard ? il ne quittera jamais sa femme !
C'est le coup de grâce pour Pierre-Antoine...
C'est le dernier jour. Pierre-Antoine ne rappellera personne, il compte sur le destin pour faire son histoire... En attendant, très perturbé...
... il drague tout le monde !
Pierre-Antoine : - Margot !
Le destin a choisi...
Pierre-Antoine : - Je suis désolée Margot, il est déjà l'heure pour moi de faire mes bagages. Tu viendras si je t'invite à la maison ?
Margot : - Est-ce que tu ne m'oublieras pas une fois rentré dans ton pays ?
Pierre-Antoine : - Comment faire pour ne pas oublier ? un noeud à mon mouchoir ? les mouchoirs n'existent pas... Ah si, j'ai une idée : je vais emmener ce banc sur lequel on a passé nos derniers moments...
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