117 - Darlène & Nabil tirent leur révérence...
(épisode 87 précédent des Bunch)
On se souvient que Nabil Bunch voulait à tout prix un autre enfant ! Darlène avait beau lire tous les livres pour trouver comment faire, elle devait se rendre à l'évidence : elle était senior ! il a alors réussi à convaincre Julia VanWatson de lui en faire un. Et pour pouvoir profiter pleinement de cet enfant, il avait installé Julia à la maison... chez eux !
Bien sûr qu'une telle situation ne pouvait pas convenir à Darlène... Comme elle ne pouvait pas virer Julia, elle a fait ses bagages et...
... a quitté la maison !
Nabil : - Attends-moi Darlène...
Nabil, ne sachant qelle attitude adopter, a suivi...
On a pensé, un moment, que la page était tournée.
Alain, leur fils adoptif, était à l'âge des premières amours...
Il a, également, un peu quitté le droit chemin...
Mais la romance avec Carlotta était bien partie.
Elle est sa seule petite amie.
Darlène et Nabil se sont rapprochés.
Mais l'affaire Julia était encore dans tous les esprits.
Darlène est allée pleurée sur une épaule compatissante...
... et, après une énième dispute...
... ils ont rompu !
Heureusement, la famille Ranglet l'a adoptée.
Mais c'est malin ! en laissant Alain avec Nabil, elle est obligée de payer une pension !
Darlène a pensé qu'elle pouvait encore trouver l'âme soeur...
Chez Nabil, Alain est devenu Jeune-adulte, tout seul !
trait supplémentaire : bourreau de travail. (Voilà qui va le changer)
Il a choisi le souhait le plus facile à réaliser... enfin, celui qui demande le moins de compétences ennuyeuses !
Le fils de Julia est bien sur son arbre généalogique...
Il est où, Nabil ? il pêche ! Si vous regardez bien, vous le verrez tout en bas de la chute d'eau... Si, si, c'est le point minuscule tout en bas de la chute.
D'ailleurs la pêche a été bonne !
Darlène a donc trouvé refuge chez les Ranglet...
En retraite, très vieille, elle a pourtant rempilé dans l'armée pour payer la pension...
Darlène : - Ah mais qu'est-ce que j'ai ? je me sens toute légère...
la Faucheuse : - J'ai une Darlène Bunch sur ma liste. J'ai ordre de vous emmener.
Darlène : - Quelle bonne idée ! si vous saviez comme ça me fait plaisir de ne plus verser cette pension à Nabil !
Tangui en est tout retourné ! c'est la première fois qu'il voit la Faucheuse.
Annie Ranglet : - Non mais dites donc ! vous allez me laisser cette boite ici ? je vous signale qu'il y a déjà celle de Blaise Wainwright qui traîne depuis 3 générations !
la Faucheuse : - Ah mais faut savoir ce que vous voulez... vous le voulez l'héritage de la vieille Darlène ?
La nouvelle n'est pas arrivée jusque chez Nabil...
Au passage vous avez droit au relooking d'Alain.. Oui je sais, mais le rose est sa couleur préférée...
Ce matin, Nabil se sent nauséeux au réveil.
Alain : - P'pa ! fais attention, je vois une faux traverser le mur !
Nabil se sauve, mais la Faucheuse ne lâche pas sa proie.
Nabil : - Pitié ! j'ai encore un enfant à charge...
La Faucheuse : - Un enfant ? mais il est adulte ce gosse ! Ouste !
Et... d'un crochet du droit, elle l'envoie rejoindre son urne.
Alain : - Mon père était toute ma vie, j'ai déjà perdu ma mère...
la Faucheuse : - La roue tourne, il faut accepter... Vois le bon côté des choses : tu gardes la maison ainsi que le compte en banque ! Tu hérites même de l'inventaire de ton père.
Alain : - J'en voulais pas moi de l'inventaire de mon père ! j'ai plein de poisson dans mon sac et dos et ça pue...
Voici une opportunité qui tombe à pic, Alain !
Alain : - Ahlala... je venais d'installer la tombe, faut que je l'enlève maintenant... Mais d'abord, je dois me débarrasser de toute cette poiscaille...
Alain : - Qu'est-ce qu'ils vont faire des restes de mon père ? Je crois qu'ils vont essayer de le ressusciter...
Après quelques heures et des bruits plus qu'inquiètants, Alain sort suivi du fantôme de son père...
Nabil : - Tu vois si tu avais mieux étudier à l'école, je serais revenu normal...
Alain : - Arrête de râler ! On pourra essayer une prochaine fois, mais avant faudra que tu gagnes un peu d'argent.
Fils ingrat...
<< 116 - Anissa Wolff veut partir... 118 - les Galantome >>