18.3 - Adel Racket & Taren Kinba
Dimanche 6 h 00 -
Adel ne quitte plus sa caserne.
... enfin... sauf en de rares exceptions.
Oooooooooh ! Ici aussi y a du nouveau !
Taren est montée dans sa vieille guimbarde et a attendu Adel... Longtemps....
Cet idiot, complètement paniqué, est parti à pieds !
Taren s'est finalement résolu à aller toute seule à l'hôpital...
... Tandis qu'Adel arrivait devant le restaurant...
Taren a encore attendu Adel devant l'hôpital... longtemps, mais là, fallait y aller.
Adel : - Taren ! tu sors déjà ?
Un petit Théo est venu agrandir le foyer Kinba-Racket.
Bien entendu, un tel événement se fête !
Adel a très envie de se marier et c'est vraiment le moment ou jamais :
Deuxième demande...
Taren n'en croit pas ses yeux !
... Deuxième refus !
Mais pourquoi ne veut-elle pas ? Maintenant, c'est la honte !
Adel n'a plus qu'à aller se cacher dans un trou...
Taren a conscience d'avoir fait du mal à Adel et, comme d'habitude, pense qu'un câlin arrangera tout.
C'est sans compter le téléphone !
Mais bien sûr, on n'attendait que vous !
En plus, les gens viennent pour leur mettre la honte !
A moins que ce soit pour faire pression sur Taren ?
Non ! Taren affrontera la foule, la tête haute... Et pour le prouver, elle organise une fête au Broyeur.
(ben oui, je fais un peu une fixation sur cet endroit...)
Seulement, avec les problèmes d'ascenseur et de taxi, les invités arrivent les premiers.
Ils sont tous venus.
Roxanne : - Qu'est-ce qu'elle a qui ne va pas la Kian Saget ? Elle a pas "déposé" sa coiffure, si ?
Les célébrités, aussi, sont venues.
Et Taren essaie de mettre un terme aux rumeurs.
Ca marche... à peu près. Le petit Théo n'est tout de même pas une invention.
Tout le monde s'est bien amusé.
....
Taren a surveillé de près son mari petit-ami.
Mathilda est même montée sur une table !
Adel et Taren sont restés les derniers.
Et un score pareil, ça mérite pas une récompense ?
Troisième demande = troisième refus !
Taren : - Oooh... je crois que j'exagère, là...
Mais la fête finie, la boite ouvre ses portes à tout le monde... et surtout aux jolies filles.
A la maison, le baby-sitter essaie vainement de calmer le bébé...
*
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